Lors de l’installation du puits de Madjatom, les équipes ont rencontré un problème de taille : une épaisse couche de roches (d’une profondeur de 5O mètres) empêchait la poursuite du chantier. Il aurait fallu les dynamiter avec des explosifs pour continuer les travaux. Technique dangereuse qui aurait pu détruire les habitations construites à proximité du puits. C’est pourquoi, les équipes techniques ont préconisé le forage, un dispositif moins dangereux que les explosifs mais plus onéreux. Terre d’Eau en Partage s’est donné les moyens financiers et techniques pour poursuivre les opérations et offrir, l’accès à l’eau potable aux populations laissées pour compte, là où d’autres ont baissé les bras…